La mémoire de l’eau : entre science et controverse

Depuis les travaux de Jacques Benveniste, l’idée que l’eau puisse conserver une « mémoire » des substances avec lesquelles elle a été en contact suscite débats et recherches. Explorons cette hypothèse fascinante et ses implications pour les granules informés.


La « mémoire de l’eau » est une hypothèse selon laquelle l’eau pourrait conserver une empreinte des substances avec lesquelles elle a été en contact, même après une dilution extrême. Cette idée a été popularisée par Jacques Benveniste en 1988, lorsqu’il a publié une étude suggérant que l’eau pouvait conserver des propriétés biologiques après la disparition des molécules initiales. Bien que ces résultats aient été largement critiqués et considérés comme non reproductibles, ils ont ouvert la voie à de nouvelles recherches sur les propriétés de l’eau.

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, a poursuivi ces investigations en étudiant les signaux électromagnétiques émis par des solutions aqueuses contenant de l’ADN bactérien. Ses travaux suggèrent que l’eau pourrait stocker et transmettre des informations biologiques, bien que cette idée reste controversée au sein de la communauté scientifique.

Dans le contexte des granules informés, la mémoire de l’eau est utilisée pour encoder des informations thérapeutiques spécifiques. En exposant l’eau à des fréquences vibratoires précises, il serait possible de transmettre ces informations au corps humain, favorisant ainsi l’équilibre énergétique et la santé.