Eau informée, granule encodé : pourquoi la matière n’est rien sans la vibration

De Masaru Emoto aux recherches de Benveniste, la mémoire de l’eau fascine. Mais qu’en est-il lorsqu’on encode un signal thérapeutique dans une pastille ? Explications.

Développement :
L’idée que l’eau peut conserver une mémoire des substances avec lesquelles elle a été en contact a été popularisée par les travaux de Masaru Emoto et Jacques Benveniste. Cette notion suggère que l’eau peut enregistrer et transmettre des informations vibratoires, même en l’absence de molécules de la substance initiale.

Les granules informés s’appuient sur ce principe en utilisant des supports neutres, comme le sucre ou l’eau, pour transmettre des informations thérapeutiques spécifiques. Grâce à un procédé d’encodage basé sur la biologie numérique et la physique quantique, ces granules contiennent des fréquences vibratoires précises qui agissent sur les déséquilibres énergétiques du corps.

Cette approche repose sur l’idée que la matière n’est rien sans la vibration. En d’autres termes, ce sont les informations énergétiques contenues dans les granules qui déclenchent les processus d’auto-guérison de l’organisme, en rétablissant l’harmonie et l’équilibre au niveau cellulaire.

Bien que cette méthode suscite encore des débats au sein de la communauté scientifique, elle offre une alternative prometteuse aux traitements conventionnels, en mettant l’accent sur l’information vibratoire plutôt que sur les principes actifs chimiques.